Naissance - La façon dont s'est passé ma - comprendre et guérir

  • Santé
  • 10 Septembre 2024
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Bonjour et Bienvenue,

 

Ce blog a pour raison d'être d'apporter à tous ceux que j'accompagne des points supplémentaires de réflexion et de compréhension pour accélérer le processus de guérison en parallèle et complément des Séances.

Je vous souhaite de tout Coeur un Magnifique Chemin de Guérison.. heart

Une compréhension de ce que votre corps peut avoir à vous dire pour vous aider à comprendre et rétablir la paix, l'ordre et l'harmonie, et donc la santé, en soit :

(Solutions Naturelles plus bas..)

Voici un extrait du livre "Le grand dictionnaire des malaises et des maladies" de Jacques Martel - 2007 - que j'apprécie particulièrement pour ses travaux qui apportent des prises de consciences sur l'origine de votre "Mal à dit" ou "Mal Aise" en complément de mes . La 1ère lecture est souvent la plus révélatrice, car votre esprit en découverte est plus alerte et neutre, je vous conseille donc de prendre de quoi noter ce qui va remonter à votre conscience. Cela sera un peut-être un bon support pour cheminer plus vite et plus juste ensemble pour votre guérison. 

Je vous souhaite une bonne lecture, et écoutez ce que votre coeur et votre intuition vous expriment dès la première lecture...

 

enlightenedLes éléments en rose sont des éléments que j'ai rajouté d'après mon expérience de thérapeute depuis 2014.

 

EXTRAIT DU LIVRE ET ÉLÉMENTS DE COMPRÉHENSION DE VOTRE CORPS :

VOIR AUSSI : ACCOUCHEMENT

Pendant les neuf mois de ma gestation, lorsque je n’étais qu’un fœtus, tous mes sens étaient déjà éveillés et j’ai eu connaissance de tout ce que ma mère, mon père et les gens autour de moi ont verbalisé. De même, je pouvais ressentir les émotions, les « états d’âme » de ceux-ci, plus particulièrement ceux de ma mère, avec laquelle j’entretenais des liens très étroits et intenses. La façon dont je peux avoir interprété ce que j’ai entendu ou ressenti pendant cette période va avoir une répercussion sur mes comportements dans l’avenir.

Par exemple, je peux avoir eu l’impression que « j’ai fait souffrir maman » lors de l’accouchement quand, bien souvent, elle a elle-même contribué à augmenter le niveau de douleur par son anxiété, ses peurs et aussi par le fait qu’elle revoit inconsciemment sa propre naissance qu’elle peut avoir trouvée très douloureuse. J’ai pu interpréter aussi que c’est à cause de moi que ma mère a failli mourir. Je traînerai alors toute ma vie ce sentiment de culpabilité « d’avoir fait mal à maman » que je revivrai par rapport à d’autres personnes. Si j’ai l’impression que je n’étais pas désiré ou qu’on a voulu me cacher, je peux vivre ma vie comme un fantôme. Je peux vivre un grand sentiment de rejet et j’ai tendance alors à prendre mes distances par rapport à mon entourage. Si j’ai eu peu de contact avec mes parents, je peux vouloir compenser en devenant exagérément proche des gens, devenant comme « une sangsue157 ».

157 Sangsue : personne qui s’impose discrètement.

De plus, la façon dont s’est passée ma naissance ou les moyens utilisés pour faciliter celle-ci, vont aussi influencer des comportements que je reproduis dans ma vie de tous les jours et qui font justement référence à la façon dont ma naissance s’est produite. Cela est particulièrement vrai lorsque je vis de grands bouleversements ou de grands changements dans ma vie où je n’ai pas le contrôle de ce qui se passe. Voici des exemples de situations les plus fréquemment rencontrées :

Si ma posture était mauvaise dans le ventre de ma mère, la naissance a été extrêmement difficile et douloureuse. Cela peut m’amener plus tard à vivre une vie de sacrifice, continuant ainsi de me punir et pensant que c’est la seule façon de faire qui existe. J’ai tendance à endurer beaucoup de douleur et de frustration avant de me sortir de certaines situations.

Si je suis né prématurément, je vais souvent manifester de l’impatience : je veux avoir fini une tâche avant même de l’avoir commencée. J’ai l’impression de ne pas être complet, qu’il me manque quelque chose. Je rechercherai constamment « cette chose ». De plus, si j’ai été placé en couveuse pour une certaine période de temps, je revivrai souvent la même solitude profonde et une impression de vivre de l’impuissance par rapport à certaines situations ou à certaines personnes, ce qui m’amène à m’isoler et à avoir un niveau d’énergie très bas. J’aurai peur du noir, ayant été habitué très tôt dans ma vie à être dans la lumière vive et le bruit. Je peux vivre un sentiment de rejet intense du fait que j’ai eu l’impression que ma mère m’a délaissé après ma naissance ou l’impression qu’elle m’a « expulsé » de chez moi. J’aurai tendance, dans ce cas, à me remettre dans des situations où on m’expulsera, soit de mon logis, de mon travail, soit de mes relations affectives. Les contacts sont rares ou absents. J’ai manqué pendant quelque temps de la nourriture de ma mère, donc j’aurai tendance à manger compulsivement pour éviter de revivre ce manque. J’aurai pu entendre des personnes qui sont venues me voir à l’hôpital: «Comme tu dois te battre pour survivre ! » En grandissant, je vais garder cette impression de devoir me battre pour ma vie et pour les bonnes causes. Laisser aller, démissionner devient alors pour moi synonyme de danger de mort. Le fait d’être placé en couveuse est pour ma survie et ceci se fait notamment en prenant suffisamment de poids. Plus tard, je pourrai avoir de la difficulté à perdre du poids puisque j’ai enregistré dès la naissance que je dois conserver un certain poids afin de survivre.

Au contraire, si je suis né en retard, je vais avoir de la difficulté à être ponctuel et à remettre des travaux à temps. Je prends mon temps et je me sens souvent bousculé dans les choses à faire. J’aime aussi que les choses soient faites à ma manière. Je pourrai démontrer de l’agressivité par rapport aux personnes qui veulent me faire sentir coupable de mes retards, car j’aurai l’impression que c’est à cause des événements extérieurs si je suis en retard. J’aurai tendance à ruminer avant d’agir, ayant de la difficulté à prendre des décisions. Dans ma vie, je peux aussi avoir tendance à vouloir m’accrocher aux personnes avec lesquelles je me sens à l’aise. Peut-être ma mère voulait me garder plus longtemps avec elle, s’en faisant pour moi et étant si heureuse de me sentir à l’intérieur d’elle. Ou était-ce plutôt moi qui voulais rester fusionné à elle ?

Le fait d’être né soit trop tôt soit en retard engendre donc en général des situations conflictuelles avec le temps. J’accepte ↓heart d’apprendre à prendre le temps de bien faire les choses et aussi prendre du temps pour moi. Au lieu de vivre toujours dans le futur ou le passé, j’apprends à vivre dans le moment présent.

Une naissance qui doit être provoquée dénote souvent que je n’étais pas prêt à venir au monde ; je peux alors vivre beaucoup de frustrations qui m’accompagneront tout au long de ma vie. Je peux aussi développer une méfiance par rapport à mon entourage. L'accouchement provoqué ou par césarienne amène souvent l'enfant à être frustré ou en réaction de colère car il n'est pas prêt à venir au monde : soit qu'il sente les peurs de la mère, soit qu'il ait peur lui-même. La coupure de la césarienne est drastique : l'enfant est sorti brutalement du ventre de la mère. Il est donc évident que cette sortie trop rapide pour lui entraîne des frustrations. C'est pourquoi on voit souvent ces nouveau-nés pleurer beaucoup dans les premiers mois de la naissance. Le fait que l’accouchement ait dû être provoqué implique parfois que c’est le médecin qui a décidé du moment de l’accouchement. Cela peut se traduire dans la vie de tous les jours par le besoin que quelqu’un d’autre prenne les décisions pour moi. Je pourrai aussi avoir une réaction totalement opposée, ne supportant pas que ce soit les autres qui décident pour moi, ne voulant pas « laisser ma destinée entre leurs mains ». Seule mon opinion comptera puisque, inconsciemment, je me souviens que lors de ma naissance, on ne m’a pas consulté pour savoir quand j’étais prêt à venir au monde.

Si ma mère a eu besoin d’une anesthésie pour me mettre au monde, je peux avoir tendance à m’endormir à tout moment et j’«anesthésie» la réalité, je ne perçois pas clairement et j’interprète à ma façon les événements, selon les peurs que j’entretiens. Il s’agit d’une forme de fuite, tout comme une drogue : en m’engourdissant, me « gelant », j’évite de rentrer en contact avec mes émotions et mes peurs. J’ai de la difficulté à recevoir des caresses et je peux avoir des maladies au niveau de la peau. Je peux avoir une peur marquée pour la douleur et avoir tendance à être distrait au travail, et ayant de la difficulté à accepter ↓heart de faire des tâches qui demandent plus de temps et d’énergie.

Si je me retrouve avec le cordon ombilical enroulé autour du cou, je me sens « étouffé » par les gens ou les situations. Je peux être plus fragile au niveau de la gorge, j’ai de la difficulté à m’exprimer, à communiquer simplement et affirmativement. J’ai tendance à me sentir « pris à la gorge ». Cela peut dénoter le désespoir de la mère par rapport à cet enfant à naître, se demandant si ce bébé naîtra dans les meilleures conditions possible et s’il doit vraiment venir en ce monde. Elle ne veut pas le laisser aller.158 Je peux vivre un malaise lorsque j’ai à porter une cravate, un foulard ou des bijoux car cela me rappelle, même inconsciemment, que j’ai déjà failli mourir avec le cordon autour du cou. J’aurai de la difficulté à rester proche des gens, autant physiquement qu’au niveau affectif car j’ai l’impression qu’on « prend mon air » et je n’ai surtout pas le goût de me mettre la « corde au cou » en me mariant.

158 Patrick Drouot a mentionné dans un de ses livres qu’un fort pourcentage (60 %+) de personnes nées avec le cordon ombilical autour du cou ont pris conscience, lors de régressions dans l’une ou l’autre de leurs vies passées, qu’elles avaient été pendues.

Si l’enfant est né par césarienne, il y a deux scénarios possibles : il peut avoir décidé de sortir mais il est coincé. L’autre possibilité est que l’on soit allé le chercher avant qu’il ne soit prêt à sortir. Dans ces cas, j’ai généralement de la difficulté à mener des projets à terme ; un effort prolongé et constant m’est difficile. Le découragement me gagne facilement. Je préfère que les gens fassent les choses à ma place, me sentant incapable de le faire moi-même. Je pourrai avoir l’impression aussi que la vie ou que les gens me traitent injustement ou, si l’on veut, que je n’ai pas le juste retour des efforts que je mets pour accomplir une tâche. « Rendez à César ce qui appartient à César ! » Le fait d’avoir une césarienne m’empêche, moi en tant que mère, d’accoucher par le vagin. Il se peut que j’aie vécu une situation dans ma vie où je me suis sentie abusée, que ce soit arrivé vraiment ou que j’aie eu une peur atroce que cela n’arrive, cela ne fait aucune différence. Ce qui compte, c’est comment je l’ai vécu dans mon ressenti. Voulant éviter de me remémorer cet événement douloureux, la césarienne devient donc une façon plus facile pour moi d’accoucher de mon enfant. Si je suis cet enfant, je peux développer un comportement hésitant, peureux et avoir de la difficulté à m’engager dans la vie. Je ne fais pas confiance à mes décisions car j’ai peur de me tromper. Puisqu’il n’a pas eu ce contact (peau) avec la mère au moment de la naissance, j’aurai peut-être de la difficulté à apprécier la sexualité dans le contact avec la peau plus tard.

Si je suis né par le siège, je vis souvent de la culpabilité, notamment parce que j’ai l’impression de faire souffrir les gens autour de moi. Je retiens beaucoup et j’ai de la difficulté à laisser aller et à faire confiance. Je vis alors beaucoup de tension intérieure. Tout ce que je vis est difficile et semble durer une éternité. Je ne me sens pas bien assis dans la vie. C’est comme si j’étais en ce monde à reculons, n’étant pas désiré ou ne me sentant pas capable de rencontrer les désirs et les attentes de mes parents. Je peux aussi avoir l’impression que je me sens limité dans mes actions et dans mes projets. C’est comme si les gens et les circonstances de la vie faisaient en sorte de vouloir me faire céder dans les nouvelles actions que je veux entreprendre.

Si l’utilisation de forceps a été rendue nécessaire, ceux-ci saisissant et protégeant ma tête afin de faciliter mon expulsion lors de ma naissance, je peux souffrir de maux de tête, de douleurs au crâne et j’ai l’impression de me heurter à beaucoup de difficultés dans ma vie, particulièrement au début d’un projet, ou d’une nouvelle relation. J’aurai l’impression que je devrai « tenir tête » aux circonstances qui se présentent pour mener à bien mon nouveau projet ou ma nouvelle relation. Je me mets beaucoup de pression sur les épaules et je prends un malin plaisir à prendre de plus en plus de responsabilités inutilement. Je me sens « forcé » à faire les choses, ayant souvent l’impression que « je n’ai pas le choix ». J’ai tendance à attendre au dernier moment pour faire les choses. Je peux vivre fréquemment des situations d’urgence où j’aurai besoin d’une aide extérieure, tout comme à ma naissance. Sans cette aide, je vais mourir... Cependant, si je voulais en tant que bébé rester en fusion avec ma mère, l’aide extérieure est perçue comme négative, me privant du contact avec ma maman.

Je peux demander à mes parents les détails de ma naissance. Le seul fait de prendre conscience des difficultés vécues à ce moment va m’aider à comprendre et à changer les comportements qui en découlent et qui peuvent me déplaire.

Si je suis un jumeau, je peux me demander pourquoi mes parents étaient si pressés de faire des enfants qu’ils en ont fait deux, ou plus, en même temps. Est-ce qu’ils avaient peur de perdre leur enfant et qu’ils en ont inconsciemment fait un deuxième pour se sécuriser ? Quelle qu’en soit la raison, je leur dis merci de m’avoir mis au monde...

 

Quand nous traitons l'origine, la conséquence n'a plus lieu d'être... et le message (mot, maux de votre corps) disparaît. C'est cela Guérir.  heart

Quelques Solutions Naturelle Répertoriées pour vous Aider :

(À venir prochainement...)

 

Je vous souhaite un Magnifique Chemin de Guérison...  

De tout Cœur...  heart

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En quoi peuvent vous aider les soins énergétiques ?

Depuis la nuit des temps, la médecine énergétique, guérisseurs en toutes cultures et de toutes époques, oeuvre pour aider chaque être à se libérer de la maladie et retrouver sa santé.

Les maladies, malaises, mal-être, et tous types de dysfonctions et symptômes sont le résultat de mauvaise circulation énergétique dans le corps, gênant sa capacité innée d’autoguérison et autoréparation.

Lors du soin énergétique, nous libérons les causes psychiques et énergétiques des maladies, libérant les symptômes et blocages énergétiques, et rétablissons l’équilibre et la libre circulation des énergies dans le corps, qui retrouve alors naturellement sa capacité d’autoguérison et rétablie l’homéostasie, le bien-être et la santé physique et psychique de la personne.

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Je vous souhaite en Excellente Santé, avec Harmonie, Bonheur et Joie.

De Tout Coeur.. heart

Angélique

Thérapeute Énergéticienne & Holistique

 

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Sources :

- Extrait du livre "Le grand dicitonnaire des malaises et des maladies" de Jacques Martel - 2007